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Péchés mignons... et coups de gueule

Parmi les nombreux jeux possibles que j'ai essayé de lister ici, j'ai bien évidemment quelques-uns qui me tiennent particulièrement à coeur, dont j'aimerais vous dire plus... tout comme il y a des moments où ça ne va pas du tout : pour éviter de reproduire ces erreurs, je me permets également d'en partager quelques-unes. Certains textes sont des citations directs (sans mentionner des noms, lieux ou dates), d'autres des synthèses de situations récurrentes, de ma plume.

Talons aiguilles

Petit fantasme plutôt simple : J'aime porter des talons aiguilles (jamais en-dehors de mes séances!), dont je sais bien me servir... mais j'aime tout aussi bien quand mon/ma partenaire en porte. Si vous cherchez à m'apprivoiser, mettez des talons! :-)

Dollification (poupéification)

J'ai un fort penchant pour les jeux de dépersonnalisation, y compris la mienne. Mon jeu préféré consiste à être une poupée complètement "inanimée", à la merci du ou des humains qui jouent avec elle. J'y trouve un formidable moyen de lâcher prise mais aussi de voyeurisme (!) Une poupée ne peut rien contre ce qui lui arrive -en même temps elle n'obéit pas non plus : c'est la configuration qui me convient le mieux face à des hommes qui souhaitent me dominer (notez que je suis une "sale féministe" qui a du mal à admirer un homme, même dans un jeu et même en étant payée pour). J'admets volontiers qu'il y a un petit côté aliénant, une certaine barrière entre les participants, mais cela me convient très bien -peut-être à vous aussi? Donc voilà, quand je joue ce rôle, c'est vous qui me soulevez, posez, bougez, pliez, dépliez, rangez, habillez, déshabillez, et faites (quasi systématiquement) un usage sexuel de mon corps... et moi, je vous observe depuis l'intérieur de mon costume :-) Il est quand même très rare de pouvoir contempler quelqu'un en train de se servir d'une poupée gonflable, n'est-ce pas?

Incontinence forcée

J'aime tout particulièrement les jeux d'incontinence forcée. C'est fou, je l'admets, mais c'est plus fort que moi :-) Il s'agit du tabou sociétal peut-être le plus profondément ancré : un être humain adulte est censé maîtriser ses boyaux. Point. Alors quand il n'y arrive pas, c'est la "catastrophe"... On oublie trop souvent que le ridicule ne tue pas (d'ailleurs, pourquoi ridiculise-t-on quelqu'un qui a des problèmes aiguës ou chroniques de digestion?) -mais c'est ainsi qu'il peut devenir terriblement excitant! Voilà donc, je trouve un malin plaisir à mettre quelqu'un dans l'embarras ultime. Des séances de ce type m'arrivent 5-6 fois par an (donc finalement pas SI rares :-)), et la plupart des personnes souhaitent une mise en scène de "petit garçon + figure maternante", mais personnellement, j'aime par-dessus tout quand ils restent dans leurs rôles d'homme adulte, et POURTANT ils leur arrive l'inavouable. Dans le caleçon. Dans le jean. (Mon rêve serait de faire souiller un pantalon de costume.) On peut se faire aider par des laxatifs -mais le temps travaille également pour moi, lors des très longues séances... Bien entendu, je n'ai aucune attirance particulière pour les excréments (même si je gère bien leur présence) -c'est le lâcher prise et la honte de l'autre qui m'intéressent.

"Maîtresse" (coup de gueule)

Je reçois souvent des mails où des parfaits inconnus m'appellent "Maîtresse", voire "sublime/divine/etc Maîtresse" et utilisent un langage tout sauf neutre tout le long du texte. Je ne trouve pas cela très correct. Soyons honnêtes un minimum : ne ne SUIS pas une divinité, ni une aristocrate mais je peux jouer ces rôles, dans un jeu dont nous aurons convenu ENSEMBLE. Tant que rien n'a été élaboré, décidé, convenu, on ne peut pas imposer ses fantasmes à l'autre. Tout comme vous allez pas saluer une parfaite inconnue dans la rue avec votre queue à la main juste parce que vous espérez ou anticipez une éventuelle évolution en ce sens... eh bien ne grillez pas les étapes non plus quand il s'agit de prévoir une séance BDSM.

"La femme" et la "théorie du" genre (coup de gueule)

Le fait est que, très probablement, nous ne sommes pas d'accord sur certaines questions, vous et moi. Il y a une forte chance que, selon vous, la "féminité" soit quelque chose d'inné et de naturel, mais tout aussi mystérieux à la fois, qui existe accroché à la deuxième chromosome X. Vous dites ou pensez peut-être même des choses comme "la" femme. J'ai une opinion diamétralement opposée sur la question. Or, en AUCUN cas, je ne souhaite mener un débat à caractère politique (ni sur cette question, ni sur d'autres), puisque je suis malheureusement incapable de cela dans la bonne humeur et en maintenant une envie et une atmosphère érotiques, ni même en gardant un bout de bienveillance. Je vous demande donc d'évaluer, AVANT de me contacter, s'il vous dérange de ne pas mettre ce sujet sur la table (il en existe tant d'autres, cela dit! On ne risque pas de s'ennuyer, quoi qu'il arrive...). Pour simplifier, les mots que je ne souhaite PAS entendre/lire sont : "la femme", "Femme" (avec majuscule), "gynarchisme", "le pouvoir de la femme", "armes féminines", "logique féminine", etc. On a tout à fait le droit de ne pas être d'accord, c'est la vie, mais quand on sait que c'est chiant d'entrer dans un débat, on peut choisir de ne pas y entrer, tout simplement.

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